LFW, HAUT EN COULEUR.

Ma première fashionweek s'est déroulé à Londres.
J'étais curieuse et à la fois excitée de découvrir de l'exterieur l'ambiance électrique et unique d'une fashion week.

Et qui dit premières experiences, dit premières impressions.
Tout d'abord j'ai aimé rencontrer des personnalités que je rêvais de rencontrer
depuis plus d'un moment et échanger quelques mots avec eux.
Et puis j'ai adoré photographier des détails et des visages qui m'ont captivé et inspiré.

En revanche j'ai beaucoup moins aimé l'attitude des gens qui m'entouraient.
A la sortie des défilés des personnes attendent pour à tout prix se faire photographier, se faire remarquer.
Alors bien sur c'est le jeu du street style ou bien la compétition de celui qui sera le plus mal à l'aise dans ses fringues tout neufs.

Pour anedocte j'ai aperçu une blogeuse anglaise se pavanait et prendre des photos avec d'autres acolytes.

Le seul soucis c'est que lorsqu'elle a enlevé sa veste l'étiquette de son sac et de son haut pendaient disgracieusement.

J'ai aussi pu me rendre compte que certaines personnes que je trouve photogéniques et sympatiques sur leur blog
sont en fait à l'opposé de ce qu'ils montraient, quel dommage.
Bien heureuseusement ce n'est qu'une minorité dont il ne faut pas rééellement faire attention.

C'est incroyable comme 15 minutes de show comporte une telle importance et de réelles conséquences sur l'industrie de la mode et pour l'économie d'une marque.
Tout le monde attend les impressions, se précipite pour voir les critiques des premiers journalistes.
Non vraiment ces quelques minutes sont à la fois primordiales pour les artistes et couturiers qui y travaillent depuis un long moment
mais aussi pour les autres marques qui prendront inspiration (ou pas) sur les défilés de prêt-à-porter.

Mais voilà, aujourd'hui s'est rajouté à cela le phénomène streetstyle qui prend de plus en plus de place.

Allez prenez des couleurs pleins les yeux!
xx

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