Le temps d'une exposition au Brooklyn Museum, l'univers Jean Paul Gaultier fût comme téléporté ici.
Cet univers qui est si propre à cet homme et ses créations faites de folie, d'extravagance, de prouesse et de vérité.
Il a su, depuis les années 90, répondre aux attentes d'une femme qui se veut bien dan
son corps et dans ses fringues, loin des diktats que la mode impose saison après saison.
Oui, la femme Gaultier est assumée et libérée.
Le créateur, dès ses débuts, a su créer une mode sans tabou et c'est cet aspect là qui me plait sans doute le plus.
Parler de Gaultier c'est parlé d'un atmosphère.
son corps et dans ses fringues, loin des diktats que la mode impose saison après saison.
Oui, la femme Gaultier est assumée et libérée.
Le créateur, dès ses débuts, a su créer une mode sans tabou et c'est cet aspect là qui me plait sans doute le plus.
Parler de Gaultier c'est parlé d'un atmosphère.
J'ai toujours admiré ces créateurs qui ont su donné une réelle identité à leur marque, ceux qui ont créé et lancé des modes adoptées encore des années plus tard.
Comme le cas de la Marinière, celle qui a été sa ligne directive jusqu'à aujourd'hui.
Ce basique qu'il a "torturé et différencié" de part les matières, celle qui tient toujours une place primordiale dans nos armoires.
C'est le basique, la mienne je ne me lasse pas.
Saison après saison c'est elle que je porte aussi bien avec un jean qu'un tailleur.
C'est alors ainsi qu'un créateur marque son empreinte.
Comme le disait si bien Coco "il n'y a pas de mode il elle ne descend pas dans la rue".
Bonne visite dans l'univers Gaultier,
Mathilde - xx.
Saison après saison c'est elle que je porte aussi bien avec un jean qu'un tailleur.
C'est alors ainsi qu'un créateur marque son empreinte.
Comme le disait si bien Coco "il n'y a pas de mode il elle ne descend pas dans la rue".
Bonne visite dans l'univers Gaultier,
Mathilde - xx.
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