Je n'ai jamais été de ces gens qui visite une ville, un pays et qui s'arrêtent aux endroits touristiques.
Je suis plutôt de ceux qui parcours les quartiers inanimés à la rencontre des habitants pour capturer et immortaliser la vie, la vraie.
Je tiens sans doute ça de ma grand-mère pour qui voyager signifie s'éloigner des sentiers battus et créer son propre voyage.
Et la vraie vie ici à NY est loin de ce qu'on peut s'imaginer.
Ici, les clichés se renversent et spécialement à Brooklyn.
Les hommes d'affaires se précipitent le vendredi soir, Jay-z aux oreilles, pour retrouver leur "village".
L'insécurité n'est qu'une image et un vieux priori.
Et même en étant dans un quartier, disons, populaire je n'ai pas peur.
Les gens qui paraissent les plus voyous sont en fait les plus gentlemen.
Après quelques semaines ici je peux dire me sentir comme chez moi.
Il y a tellement de parfum à sentir, de coins de rue à découvrir et de gens à observer que je pourrai rester des heures assises sur un banc et regarder le voisinage passer.
De cette Mama rasta à ce papi sur Fulton street, tous font le visage de Brooklyn.
De cette Mama rasta à ce papi sur Fulton street, tous font le visage de Brooklyn.
On ne peut pas résumer Brooklyn à ses hypsters et son rap, c'est bien plus que ça.
C'est une mentalité, un mode de vie, des parfums qui font de ce quartier unique.
C'est une mentalité, un mode de vie, des parfums qui font de ce quartier unique.
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